Je souhaite compléter cette vidéo par un petit message. Là où l'excitation de la passion est équivalente au désir de communiquer et de parler, la disposition étant implantée par nos parents et notre environnement, si les contacts actuels en phonie sur le 14mhz sont proches du "standard radioamateur", il faut lever le voile sur cette activité qui révèle plus une nécessité à parler ou à se situer géographiquement par rapport à l'autre qu'une réelle activité communicante ou communiquante ? En vous communiquant l’art et la manière de communiquer, j’affûte mes talents de communicant. La différence ? Elle est à trouver entre l’état et l’action ...
Si une technique se communique, un savoir faire parfois, à l'écoute des ondes, rapidement, les contacts sont cadencés par un rapport au langage très formaté ; les identifications de langage sont nombreuses et il faut être acharner à connaître l'autre pour trouver, parfois, un correspondant désireux à communiquer des infos personnelles qui peuvent être parfois dérangeantes pour d'autres à l'écoute ou à l'écart. La licence ?
Solitude diluée par des pratiques quotidiennes pirates ou encadrées, la radio fait son œuvre d'artefact de réduction de la distance. Des contacts plus directs sont à privilégier puisque l'objet radio est un paradoxe de communication ; il peut se perdre du temps et des amis car la proximité entre deux opérateurs est aussi illusoire que celle d'un couple qui se cherche. Il y a donc une recherche que l'examen radio ne révèle pas et jamais. La recherche est-elle encore en question ou peut-on se passer de révéler la question fondamentale du désir de la radio ? Cette recherche de l'autre différent ou du semblable, que nous dit-elle ? « Une expérience montée par deux chercheurs américains a montré que des experts en langage avaient du mal à identifier des textes écrits par une IA. Ces linguistes ont donné moins de 39% de bonnes réponses. Si Chatgpt épate régulièrement ses utilisateurs par son aisance en langage naturel, qui mieux que des linguistes pour en juger ? Deux professeurs associés en linguistique des universités de Floride du Sud et de Memphis, aux Etats-Unis, ont fait l’expérience de confronter 72 experts à quatre extraits d'articles académiques pour leur demander de dire lesquels avaient été écrits par des auteurs humains et lesquels par le chatbot d’OpenAI ». Vous trouverez facilement la suite de cette citation sur le web.
Récemment, dans le village de ma campagne, je me suis interrogé sur ma réaction négative à la demande d'un voisin souhaitant en savoir plus sur la radio. Je lui proposé à la place une conversation au plus proche de l'intérêt de se connaître. La radio est symptomatique ; qu'on se le dise. La promotion radio est à vide et en attente d'un verbe qui puisse être porteur d'un désir humain renouvelé dans son rapport au langage et à la vie perpétuée : c'est cela la seule technique. Cela je ne l'entends pas sur les ondes malgré des Qsos bien vivants. Pour ceux qui veulent faire de la radio, révisez-vous à ignorer l'essentiel ! Nous vivons, des occupations sont dans nos vies mais il y a aussi des territoires autres que celui des ondes dont l'abandon interroge l'arc réflexe et le temps passé. Pour finir, je m'étonne de ne pas trouver dans le groupe radioamateur un "être physicien" pour comprendre ceci : « le trou blanc nous permet de traverser ce qu'Einstein appelait le bord de la réalité, la fin du temps » Rovelli.
C'est bien une affaire d'onde que de trouver une passe mais la radio n'est pas le lieu vraisemblablement et pourtant ... Peut-être encore un cycle solaire 25 constitué que de loisir et moins de la réflexion intime ?
Je souhaite compléter cette vidéo par un petit message. Là où l'excitation de la passion est équivalente au désir de communiquer et de parler, la disposition étant implantée par nos parents et notre environnement, si les contacts actuels en phonie sur le 14mhz sont proches du "standard radioamateur", il faut lever le voile sur cette activité qui révèle plus une nécessité à parler ou à se situer géographiquement par rapport à l'autre qu'une réelle activité communicante ou communiquante ? En vous communiquant l’art et la manière de communiquer, j’affûte mes talents de communicant. La différence ? Elle est à trouver entre l’état et l’action ...
RépondreSupprimerSi une technique se communique, un savoir faire parfois, à l'écoute des ondes, rapidement, les contacts sont cadencés par un rapport au langage très formaté ; les identifications de langage sont nombreuses et il faut être acharner à connaître l'autre pour trouver, parfois, un correspondant désireux à communiquer des infos personnelles qui peuvent être parfois dérangeantes pour d'autres à l'écoute ou à l'écart. La licence ?
Solitude diluée par des pratiques quotidiennes pirates ou encadrées, la radio fait son œuvre d'artefact de réduction de la distance. Des contacts plus directs sont à privilégier puisque l'objet radio est un paradoxe de communication ; il peut se perdre du temps et des amis car la proximité entre deux opérateurs est aussi illusoire que celle d'un couple qui se cherche. Il y a donc une recherche que l'examen radio ne révèle pas et jamais. La recherche est-elle encore en question ou peut-on se passer de révéler la question fondamentale du désir de la radio ? Cette recherche de l'autre différent ou du semblable, que nous dit-elle ? « Une expérience montée par deux chercheurs américains a montré que des experts en langage avaient du mal à identifier des textes écrits par une IA. Ces linguistes ont donné moins de 39% de bonnes réponses. Si Chatgpt épate régulièrement ses utilisateurs par son aisance en langage naturel, qui mieux que des linguistes pour en juger ? Deux professeurs associés en linguistique des universités de Floride du Sud et de Memphis, aux Etats-Unis, ont fait l’expérience de confronter 72 experts à quatre extraits d'articles académiques pour leur demander de dire lesquels avaient été écrits par des auteurs humains et lesquels par le chatbot d’OpenAI ». Vous trouverez facilement la suite de cette citation sur le web.
Récemment, dans le village de ma campagne, je me suis interrogé sur ma réaction négative à la demande d'un voisin souhaitant en savoir plus sur la radio. Je lui proposé à la place une conversation au plus proche de l'intérêt de se connaître. La radio est symptomatique ; qu'on se le dise. La promotion radio est à vide et en attente d'un verbe qui puisse être porteur d'un désir humain renouvelé dans son rapport au langage et à la vie perpétuée : c'est cela la seule technique. Cela je ne l'entends pas sur les ondes malgré des Qsos bien vivants. Pour ceux qui veulent faire de la radio, révisez-vous à ignorer l'essentiel ! Nous vivons, des occupations sont dans nos vies mais il y a aussi des territoires autres que celui des ondes dont l'abandon interroge l'arc réflexe et le temps passé. Pour finir, je m'étonne de ne pas trouver dans le groupe radioamateur un "être physicien" pour comprendre ceci : « le trou blanc nous permet de traverser ce qu'Einstein appelait le bord de la réalité, la fin du temps » Rovelli.
C'est bien une affaire d'onde que de trouver une passe mais la radio n'est pas le lieu vraisemblablement et pourtant ... Peut-être encore un cycle solaire 25 constitué que de loisir et moins de la réflexion intime ?
73 à tous , Jean F1ACC