Les radio-clubs...la base de notre hobby

Il reste peu de magazines français payants ou gratuits à l'heure actuelle malheureusement, ceci m'a conduit à m'abonner à trois revues américaines, ce qui permet d'améliorer mon  anglais au passage, d'autre part et il faut bien le reconnaitre qu'elles sont de tout premier ordre tant par le contenu, le tarif et la qualité d'impression sauf pour le NCJ qui est imprimé sur un papier de faible qualité en noir et blanc mais moins cher.
Dernièrement j'ai souscrit à Radcom, histoire de voir pendant un an ce que font nos amis d'Outre-Manche.
Le contenu du colis me surpris, dans le pack, une lettre de bienvenue, un petit diplôme à la sauce américaine, un pin's, le magazine, deux autocollants, les nouveaux livres de l'année et un guide regroupant toutes les informations concernant le RSGB (Qsl, diplômes, l'organisation, les textes de loi régissants l'association....).

Tout ceci m'amène à penser pourquoi cela ne fonctionne pas en France et pourquoi notre hobby n'attire plus. L'excuse d'internet pour un grand nombre n'est pas valable à mes yeux, c'est un outil supplémentaire à notre passion, lorsque la télévision fut inventée ainsi que le téléphone portable le nombre d'om français était toujours en progression.
Aujourd'hui dans la majorité des pays d'Europe en passant par les Usa et le Japon, les effectifs ne cessent d'être croissant chaque année sauf nous...
Toutes les guerres de clochers,critiques ... font perdre du temps et un argent précieux, il serait peut être plus subtil d'injecter tout ceci dans les radio-clubs qui sont l'espace fondamental de formation, de trafic, d'entraide et d'amitié dans chacun de nos départements.
Comme d'habitude nous aurons une guerre de retard mais celle-ci sera fatale, tout en exagérant, dans quelques années nous aurons peut être des expéditions américaines sur notre sol pour activer notre pays et nos amis belges donner des cours ici et là pour préparer à la licence les derniers venus.
Croisons les doigts pour que cette situation s'arrange au plus vite, l'espoir fait vivre.